Affichage des articles dont le libellé est Édition extraordinaire !. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Édition extraordinaire !. Afficher tous les articles
lundi 31 octobre 2016
Joyeux Halloween !
Bonjour Tout le Monde !
He !
Je ne suis pas mort, hein ?
Enfin, presque...
Félicitations !
Tu as été transformé en zombie par "La BD de fede" !
À bientôt !
lundi 5 septembre 2016
Comment avoir un blog.
Bonjour les Copains !
C'est la rentrée.
Je sais, c'est dur, il nous faut de l'humour pour survivre à ce moment.
Et de nouveaux projets !
Vous voici mon conseil pour vous occuper dans votre temps libre et - pourquoi pas - vous lancer dans un véritable business.
Aujourd'hui je vais vous expliquer comment créer votre propre blog !
Il faut savoir qu'ouvrir un blog est aujourd'hui quelque chose d'extrêmement simple : il y a des plateformes qui font presque tout pour vous au niveau technique (Blogger by google, Wordpress, Tumblr...), des interfaces déjà compilées que vous pouvez personnaliser comme mieux vous semble !
Certes, un peu de connaissance de programmation est bienvenue si vous avez dans la tête quelque chose de plus complexe à réaliser (personnellement, pour ce blog, sans être programmeur je me suis replongé dans le peu de HTML que je connaissais et j'ai appris de nouveaux trucs qui m'ont été bien utiles ; une galère d'à peu près un mois pour obtenir une structure de blog assez stable...)
Mais il vous faut d'abord un élément capital qu'aucun manuel ni tutoriel pourrons vous donner :
Sans idées, vous l'aurez compris, c'est inutile d'ouvrir un blog comme de faire plein d'autres choses :
être candidat aux présidentielles, chercher l'homme ou la femme idéales, s'exprimer sur feisbuch ou, tout simplement, utiliser le grand trou sonore que quelqu’un nous a positionné dans la partie basse de notre visage...
Sans idées, vous l'aurez compris, c'est inutile d'ouvrir un blog comme de faire plein d'autres choses :
être candidat aux présidentielles, chercher l'homme ou la femme idéales, s'exprimer sur feisbuch ou, tout simplement, utiliser le grand trou sonore que quelqu’un nous a positionné dans la partie basse de notre visage...
C'est clair que si, comme moi, vous voulez créer un blog BD ou illustré, il vous faudra une MAIN qui dessine !
Voici la mienne :
Elle fait juste coucou parce qu'elle est timide mais elle sait faire des tours de magie aussi !
Allez, vas-y, montre-nous un tour, allez...
Ouais !!! Trop bien !
Mais ne lui demandez pas comment elle fait : c'est une vraie magicienne et elle n'explique jamais ses secrets !
Bien, voici essentiellement tous les ingrédients pour concocter un blog !
Maintenant il faut les mélanger, donner une forme à tout cela...
Et caetera.
Difficile de trouver son propre style, le juste équilibre entre humour intelligent et connerie absolue, il faut faire un travail minutieux de labor limæ et souvent le résultat n'est pas satisfaisant mais il faut s'acharner, continuer - comme dit Phil Collins - against all odds.
Voilà.
J'ai vous ai montré un exemple de session de recherche créative.
Trouvez maintenant votre propre méthode de travail et lancez-vous dans le Monde !
Exprimez-vous !
Communiquez !
Ça fait tellement bien de partager...
Maintenant que vous avez créé votre blog, permettez-moi de vous signaler mon autre article qui vous explique "comment avoir un blog à succès" !
CLIQUEZ ICI pour tout savoir sur les astuces pour booster votre présence dans le monde de la Toile !
Les Ami(e)s, vous l'avez peut-être oublié mais pas moi : avec ce post je fête les TROIS ANS de "La BD de fede" donc merci pour la fidélité et si le contenu vous plait, partagez et parlez-en à vos ami(e)s.
Ils trouverons plus de 80 articles à lire, des centaines d'illustrations, BD, dessins, des jeux interactifs et, j'espère, pourrons passer un bon moment à rire et à réfléchir sur ce petit blog.
De mon coté, je vais prendre un peu de vacances à la campagne donc je ne vous dis pas "à dans deux semaines" comme d'habitude mais "à bientôt"; donc...
À bientôt !
À bientôt !
lundi 22 février 2016
Le nom de l'Umberto.
Bonjour mes Ami(e)s.
Il y a pas longtemps, en discutant de la mort de David Bowie, un cher ami me demanda si j'avais l'intention de rendre hommage à l'artiste sur mon blog.
Je lui répondis que -oui- j'avais eu mon moment "musique de David Bowie" pendant ma jeunesse, une découverte foudroyante d'ailleurs, que je reconnaissais son importance, que j'avais suivi avec curiosité sa carrière d'acteur mais que -non- je ne me considérais pas son fan et donc j'aurais laisser parler et pleurer le cœur de quelqu'un d'autre, de ses vrais admirateurs.
Le jour est venu où je peux et je veux parler d'un grand homme qui nous a quitté et dont je me considère - cette fois oui- un véritable admirateur : le professeur Umberto Eco.
Comment devient-t-on des fans de quelqu'un ou de quelque chose ?
Tout simplement au moment où ce quelqu'un, cette quelque chose te donnent une émotion, je pense.
Je suis fan de Mr. Bean parce qu'il me fait rire de bon cœur et d'une façon très pure et légère, ce que je considère une sorte de miracle dans ce monde trop sale ;
je suis fan des aquarelles d'Hugo Pratt parce que quand je les ai vu en vrai, j'ai pleuré tant ils étaient beaux et délicats ;
je suis fan de Roman Polanski parce qu'il maîtrise les genres (notamment le grotesque, à mon avis le plus difficile à rendre digeste) et il est donc capable de te donner toute sorte d’émotions.
Je n'oublierai jamais le plaisir intellectuel que j'ai eu en lisant les romans d'Umberto Eco, vrais défis à mes connaissances et activateurs de l'envie d'en savoir plus ; les après-midis passés en famille, les larmes aux yeux tant on riait, en lisant sa rubrique "La bustina di minerva" (à laquelle mon blog doit beaucoup), notamment l'épisode "comment reconnaître un film porno" et celui qu expliquait comment éviter les gros mots en paraphrasant tout en conservant le sens profond de l'épithète (ça viens de lui, d'ailleurs, mon habitude d'utiliser de longues phrases complexes et des mots recherchés quand j'écris avec le risque de passer pour un snob ; la motivation est une autre : il faut saisir chaque opportunité pour aller vers le haut plutôt que de se contenter de la langue que l'on écoute au quotidien) ; et comment oublier sa mobilisation lors de la grande manifestation pour demander la démission de Berlusconi, à l’époque Président du Conseil des Ministres en pleine crise politique et touché par plusieurs scandales (il dit, provoquant le fou rire de la platée : "Je croyais que Berlusconi avait juste une nièce en commun avec Moubarak mais je me trompais : il a aussi cette habitude de pas démissionner...").
Un grand homme, exemple de droiture morale et civique, maître d'humour et de littérature sans oublier ses capacités remarquables et reconnues d'essayiste et divulgateur.
Je l'ai rencontré une seule fois, dans sa ville natale, Alessandria en Italie, lors d'une leçon publique sur le thème de la lecture.
Je me suis rapproché de lui avant le début de la soirée pour lui demander de me dédicacer un de ses romans, mon préféré, et, comme à chaque fois que je rencontre mes idoles ou que je tombe sur une femme à big boobs, j'ai perdu mes moyens...
Et oui, j'avais l'air vraiment débile mais -qu'est-ce que vous voulez ?- être fan ça veut dire aimer et quand l'on aime, le premier contact avec l'objet de l'Amour nous transforme à chaque fois en adolescents admiratifs et tremblants...
Merci, Professeur, pour toutes ces émotions que vous m'avez offert.
Le jour est venu où je peux et je veux parler d'un grand homme qui nous a quitté et dont je me considère - cette fois oui- un véritable admirateur : le professeur Umberto Eco.
Comment devient-t-on des fans de quelqu'un ou de quelque chose ?
Tout simplement au moment où ce quelqu'un, cette quelque chose te donnent une émotion, je pense.
Je suis fan de Mr. Bean parce qu'il me fait rire de bon cœur et d'une façon très pure et légère, ce que je considère une sorte de miracle dans ce monde trop sale ;
je suis fan des aquarelles d'Hugo Pratt parce que quand je les ai vu en vrai, j'ai pleuré tant ils étaient beaux et délicats ;
je suis fan de Roman Polanski parce qu'il maîtrise les genres (notamment le grotesque, à mon avis le plus difficile à rendre digeste) et il est donc capable de te donner toute sorte d’émotions.
Je n'oublierai jamais le plaisir intellectuel que j'ai eu en lisant les romans d'Umberto Eco, vrais défis à mes connaissances et activateurs de l'envie d'en savoir plus ; les après-midis passés en famille, les larmes aux yeux tant on riait, en lisant sa rubrique "La bustina di minerva" (à laquelle mon blog doit beaucoup), notamment l'épisode "comment reconnaître un film porno" et celui qu expliquait comment éviter les gros mots en paraphrasant tout en conservant le sens profond de l'épithète (ça viens de lui, d'ailleurs, mon habitude d'utiliser de longues phrases complexes et des mots recherchés quand j'écris avec le risque de passer pour un snob ; la motivation est une autre : il faut saisir chaque opportunité pour aller vers le haut plutôt que de se contenter de la langue que l'on écoute au quotidien) ; et comment oublier sa mobilisation lors de la grande manifestation pour demander la démission de Berlusconi, à l’époque Président du Conseil des Ministres en pleine crise politique et touché par plusieurs scandales (il dit, provoquant le fou rire de la platée : "Je croyais que Berlusconi avait juste une nièce en commun avec Moubarak mais je me trompais : il a aussi cette habitude de pas démissionner...").
Un grand homme, exemple de droiture morale et civique, maître d'humour et de littérature sans oublier ses capacités remarquables et reconnues d'essayiste et divulgateur.
Je l'ai rencontré une seule fois, dans sa ville natale, Alessandria en Italie, lors d'une leçon publique sur le thème de la lecture.
Je me suis rapproché de lui avant le début de la soirée pour lui demander de me dédicacer un de ses romans, mon préféré, et, comme à chaque fois que je rencontre mes idoles ou que je tombe sur une femme à big boobs, j'ai perdu mes moyens...
Et oui, j'avais l'air vraiment débile mais -qu'est-ce que vous voulez ?- être fan ça veut dire aimer et quand l'on aime, le premier contact avec l'objet de l'Amour nous transforme à chaque fois en adolescents admiratifs et tremblants...
Merci, Professeur, pour toutes ces émotions que vous m'avez offert.
Maintenant faisons ce que cet homme admirable se serait attendu de notre part : continuons à lire !
"L'homme qui ne lit pas, à 70 ans il aura vécu qu'une vie ; l'homme qui lit aura vécu 5000 ans."
Umberto Eco
lundi 25 janvier 2016
Je sais tout.
Bonjour à Toutes et à Tous !
Bienvenue sur "La BD de fede" renouvelée ou comme on dit aujourd'hui "2.0".
Vous avez déjà remarqué peut-être le logo du blog modifié.
Maintenant il faut des explications.
C'est ma conviction que toutes les choses doivent évoluer, en mieux si possible, vers quelque chose de nouveau, d'inattendu.
Même une formule qui gagne ne peux rester pareille pendant des siècles : elle doit proposer au moins quelque changement pour la rendre toujours intéressante et ce principe devrait -à mon avis- être appliqué à une série BD de succès comme à la suite d'un blockbuster hollywoodien ou encore à sa vie de couple.
Bienvenue sur "La BD de fede" renouvelée ou comme on dit aujourd'hui "2.0".
Vous avez déjà remarqué peut-être le logo du blog modifié.
Maintenant il faut des explications.
C'est ma conviction que toutes les choses doivent évoluer, en mieux si possible, vers quelque chose de nouveau, d'inattendu.
Même une formule qui gagne ne peux rester pareille pendant des siècles : elle doit proposer au moins quelque changement pour la rendre toujours intéressante et ce principe devrait -à mon avis- être appliqué à une série BD de succès comme à la suite d'un blockbuster hollywoodien ou encore à sa vie de couple.
Évoluer pour mieux faire, donc.
Dans le cas personnel de ce blog, je me suis armé de lucidité et j'ai passé au peigne fin sa formule.
J'ai remarqué, au delà du fait que le style de dessin ou d’écriture puissent plaire ou pas, que "La BD de fede" manquait de cette volonté de changer parce que les visites sont nombreuses et le retour des Lecteurs est fort positif.
Mais qui donc a envie de prendre des risques sur une formule assez bien rodée ?
Réponse : mouàààààà !
J'avoue aussi que je n'ai pas d'enjeux économiques pour ce blog du coup il est bien plus facile de prendre des risques.
Allez, lançons-nous !
Il y a deux semaines je vous avais annoncé un changement de format : je confirme que "La BD de fede" continuera de vous proposer du nouveau contenu gratuit toutes les deux semaine (le lundi) mais c'est le contenu qui va changer !
Tout simplement, je me suis aperçu qu'un blog qui s'appelle "La BD de fede" n'a pas jusqu'ici proposé beaucoup de BD proprement dites sauf à deux occasions (cliquer ICI et ICI) plus jamais répétés.
Je commence aujourd'hui à remédier à cette manque.
Comment ?
Mais en vous proposant les premières planches d'un histoire en BD complète !
Une histoire qui pourrait être contenue dans un album papier et qui se rapproche dans le rythme à un feuilleton (mais pas télévisé, non, un vrai, comme ceux qui étaient proposés à épisodes dans des revues littéraires !)
Et là on arrive, dans ce long préambule, au titre de ce post : "Je sais tout".
Oui, j'aimerais bien tout savoir
mais la réalité, hélas, est différente et l'ignorance m'attend encore à chaque coin de rue...
"Je sais tout" veut être un hommage au magazine mensuel du même nom qui a eu le mérite, au début du XXème siècle, de donner une impulsion à la presse illustrée en France mais surtout de publier sous forme de feuilleton et pour la première fois les aventures extraordinaires d'Arsène Lupin !
Mais revenons à La BD de fede...
Concernant le protagoniste de ce long récit, vous commencerez à le connaîtrez dans cette démo.
Trop parlé (encore une fois) ; il ne me reste que remercier mes fidèles collaborateurs Leslie Crosasso (pour la révision du texte français) et Brian Dunlop (pour avoir numérisé mes planches) et vous souhaiter une très bonne lecture !
Il parlait de « Shining ».
Trop parlé (encore une fois) ; il ne me reste que remercier mes fidèles collaborateurs Leslie Crosasso (pour la révision du texte français) et Brian Dunlop (pour avoir numérisé mes planches) et vous souhaiter une très bonne lecture !
Stanley
Kubrick a dit une fois, à propos d'un de ses chefs-d'œuvre,
qu'il s'agissait d'un film profondément optimiste car il prenait en considération la possibilité d'une vie après la mort...
À suivre...
lundi 11 janvier 2016
New York, New York...
Bonjour à Toutes et à Tous !
Il y a quelques semaines je vous avais parlé (si vous êtes des Lecteurs habituels de ce blog, vous savez de quoi je parle, sinon vous pouvez lire ce post-là EN CLIQUANT ICI) des joies du retro-gaming, cette activité qui permet aux intéressés de découvrir (et aux nostalgeeks comme moi, de déterrer) de véritables trésors oubliés du tout début de l'industrie vidéo-ludique.
Et je vous avais pris la tête sur les capacités extraordinaires de ces proto-créateurs de jeux, et de comment certains jeux vidéo étaient tellement géniaux que l'on pouvait les comparer à des œuvres d'art, notamment un titre : "GHOSTBUSTERS", version interactive du blockbuster sorti en 1984.
Bien.
Je ne reviens pas sur mes propos, je confirme ce que j'ai dit même si le ton solennel adopté pour l'occasion était peut-être un peu exagéré par rapport au sujet et surtout j'avoue que ce post-là m'a servi d'amuse-bouche pour ce post-ci.
Oui, mes Ami(e)s parce qu'entretemps et pendant dix jours j'ai découvert New York !
Impressions de mon voyage à New York :
~.~
~.~
Chapitre 1 : où l'on découvre que parfois les pixels (et l'argentique) sont bien réels.
Quand j'y suis arrivé, j'ai eu tout de suite devant mes yeux certaines planches
vertigineuses de Largo Winch ou de Batman (Washington Irving en 1807 avait déjà surnommé Gotham la ville) ou encore le trait organique de Tardi traçant les
profils art déco des magnifiques bâtiments new-yorkais mais c'est
impossible de visiter cette ville sans avoir dans la tête les images de films inoubliables.
Chacun a ses repères, certes, mais il y a des vues que tout le monde reconnaîtrais même sans avoir jamais mis les pieds sur l’île de Manhattan !
Régie, lancez la galerie photo, c'est parti :
Et le musée de Ghostbusters 2 !
Jouant à Mr. Big et Carrie devant la maison de la célèbre fashion-addicted.
La bourse de Gotham City assiegée par Bane dans The Dark Knight Rises !
Le siège du Daily Bugle avec araignée...
Je suis tombé sur la vraie Bat-débile... Euh -mobile de la série des années 60 à la New-York Historical Society (en réalité j'avais été informé de sa présence par ma belle-mère, obrigado !)
Il était une fois en Amérique...
Et il y a plein d'écureuils partout !
Décor de ciné ? Non, vraie rue.
Autre vue typique.
Derniers décors pour Halloween.
Le propriétaire de cette maison démontre d’être un vrai malin pour ne pas avoir coupé les citrouilles.
Je vous assure que celles découpées avec le visage ont tout un autre aspect après deux semaines en plein air...
Scary...
Le roi du selfie sans perche et sans retour d'image, one take : trop fort...
Chacun a ses repères, certes, mais il y a des vues que tout le monde reconnaîtrais même sans avoir jamais mis les pieds sur l’île de Manhattan !
Régie, lancez la galerie photo, c'est parti :
Je pense que je vais écrire à Irina Bokova pour qu'elle l'inscrive dans la liste des monuments patrimoine de l'Humanité...
toujours dans Ghostbusters, vous vous souvenez ? Juste après la première scène dans la Public Library...
Et le musée de Ghostbusters 2 !
Jouant à Mr. Big et Carrie devant la maison de la célèbre fashion-addicted.
La bourse de Gotham City assiegée par Bane dans The Dark Knight Rises !
Le siège du Daily Bugle avec araignée...
Je suis tombé sur la vraie Bat-débile... Euh -mobile de la série des années 60 à la New-York Historical Society (en réalité j'avais été informé de sa présence par ma belle-mère, obrigado !)
Il était une fois en Amérique...
Bruce Willis au théâtre dans la pièce "Misery" et son autographe ! Coool...(dialogues pas très différents de ceux qu'il joue au cinéma, en fait, notamment le "mo########er"... Spectacle très amusant porté surtout par Laurie Metcalf, grandiose partenaire de scène du cher Bruce)
Et il y a plein d'écureuils partout !
Décor de ciné ? Non, vraie rue.
Autre vue typique.
Derniers décors pour Halloween.
Le propriétaire de cette maison démontre d’être un vrai malin pour ne pas avoir coupé les citrouilles.
Je vous assure que celles découpées avec le visage ont tout un autre aspect après deux semaines en plein air...
Scary...
Le roi du selfie sans perche et sans retour d'image, one take : trop fort...
Chapitre 2 : des coutumes des new-yorkais à l'usage des voyageurs européens.
La globalisation existe, certes, mais elle n’empêche pas aux peuples d'avoir et de conserver ses particularités, désolé.
Quelques caractéristiques que j'ai pu dénicher chez les new-yorkais :
ils sont super gentils et super vendeurs,
bavards, salutistes (ils font beaucoup de sport et c'est fini avec les méga portions de frites, le litre de Coca et les hamburgers géants : perso, dans la rue j'ai trouvé plein de restos, même des chênes de fast-food, qui proposent salades, jus de fruits et de légumes frais et sur mesure, poulets fermiers et omelettes bio... Ce qui n’empêche pas de trouver encore les typiques diners où on peut s'exploser l'estomac avec la montagne de pancakes et les tranches de bacon) ;
il sont assez optimistes (au moins sur certains aspects...)
Pour eux, la queue c'est UNE personne derrière l'autre, même si l'on est en couple : aucune exception !
Voici , à titre d'exemple, le schéma d'une file d'attente à l’aéroport, au moment d'embarquer...
File new-yorkaise (avec couple d'intrus européens) :
• they are so rude...
•••••• •••• ••• •• ••••••••• ••• ••••• • •• ••• ••••• •••••••••• ••••••• ••••• •• • •••• ••• • = entrance
such a shame...
File européenne :
• ••••
••• ••• ••••• • •
••••••••••••• •• ••• ••• •• •• ••••
••• •••• • ••• •••••••• ••• ••• •••• •••••• ••
••••• ••• •••••• •••• •••••••• • ••• •••
•••••• • • •••••••••• ••• •• •••• •••••••• ••• •• •
•••• •• ••• ••• ••••• •••• •••• ••••• •••• ••• • •••• ••
••••••• ••• ••• ••• ••• ••• •••••••• ••• ••• •••• • •• ••••• • ••• • ••• ••
••••••••••••• ••••••••• •••• ••••• •• •• • ••• •••• •••• •••••••••••• ••• •• ••• •• • ••• ••• •••• • = entrée
•••• •••• • • •• •••• ••••• ••••••••• • •••• •••••••••••••• •• •••• •••• ••• ••• ••• • ••••••• •
••••• • ••• ••• ••• ••• •• •••••••••••••• • •••••• • •••• ••••••••• •••••
•• • ••••• ••••••••••••••••• •••• • •••• ••••• ••• •••• •
•••• •• ••• •• ••• ••••••••• ••••• •••
••••• ••••••••• • •• ••• •••• ••• •••
•• •••••• ••• • •• ••• •••
•••• ••• •••• • ••
•• ••••
Donc attention à ne pas vous faire engueuler comme c'est arrivé (et à plusieurs reprises) à votre auteur de blog préféré...
ils sont super gentils et super vendeurs,
bavards, salutistes (ils font beaucoup de sport et c'est fini avec les méga portions de frites, le litre de Coca et les hamburgers géants : perso, dans la rue j'ai trouvé plein de restos, même des chênes de fast-food, qui proposent salades, jus de fruits et de légumes frais et sur mesure, poulets fermiers et omelettes bio... Ce qui n’empêche pas de trouver encore les typiques diners où on peut s'exploser l'estomac avec la montagne de pancakes et les tranches de bacon) ;
il sont assez optimistes (au moins sur certains aspects...)
Je vous assure : chaque intersection de rues avec un pauvre buisson et un triangle d'herbe, pour eux c'est un parc !
ils ne sont pas du tout tactiles et ils ont un vrai problème avec les files d'attente.Pour eux, la queue c'est UNE personne derrière l'autre, même si l'on est en couple : aucune exception !
Voici , à titre d'exemple, le schéma d'une file d'attente à l’aéroport, au moment d'embarquer...
File new-yorkaise (avec couple d'intrus européens) :
• they are so rude...
•••••• •••• ••• •• ••••••••• ••• ••••• • •• ••• ••••• •••••••••• ••••••• ••••• •• • •••• ••• • = entrance
such a shame...
File européenne :
• ••••
••• ••• ••••• • •
••••••••••••• •• ••• ••• •• •• ••••
••• •••• • ••• •••••••• ••• ••• •••• •••••• ••
••••• ••• •••••• •••• •••••••• • ••• •••
•••••• • • •••••••••• ••• •• •••• •••••••• ••• •• •
•••• •• ••• ••• ••••• •••• •••• ••••• •••• ••• • •••• ••
••••••• ••• ••• ••• ••• ••• •••••••• ••• ••• •••• • •• ••••• • ••• • ••• ••
••••••••••••• ••••••••• •••• ••••• •• •• • ••• •••• •••• •••••••••••• ••• •• ••• •• • ••• ••• •••• • = entrée
•••• •••• • • •• •••• ••••• ••••••••• • •••• •••••••••••••• •• •••• •••• ••• ••• ••• • ••••••• •
••••• • ••• ••• ••• ••• •• •••••••••••••• • •••••• • •••• ••••••••• •••••
•• • ••••• ••••••••••••••••• •••• • •••• ••••• ••• •••• •
•••• •• ••• •• ••• ••••••••• ••••• •••
••••• ••••••••• • •• ••• •••• ••• •••
•• •••••• ••• • •• ••• •••
•••• ••• •••• • ••
•• ••••
Donc attention à ne pas vous faire engueuler comme c'est arrivé (et à plusieurs reprises) à votre auteur de blog préféré...
Chapitre 3 : bilan.
omment donc rajouter quelque chose aux tonnes d'ouvrages existants sur le sujet ? C'est une belle ville, point.
Est-ce que ça vaut vraiment la peine de la visiter ?
Absolument !
La richesse est telle que chacun peut y trouver son bonheur.
Les musées (ah, les musées : le Met, frère du Louvre, le Moma, le Guggenheim, la Neue Galerie avec tous ses Klimt...) la nourriture, l'ambiance, la musique, le shopping sauvage...
Une ville qui ne déçoit pas puisqu'elle contient un monde entier à découvrir et vu que chacun a sa place dans le Monde, il suffit de s'y plonger !
"New York nous apprend qu'il faut tenter sa chance dans la vie, qu'il faut savoir prendre les bonnes décisions.
Cette ville nous apprend à prendre de l'assurance et à croire en nos rêves, à ne jamais baisser les bras.
Au confluent des races, des cultures et des populations qui viennent du monde entier en quête de leurs rêves, New York est peut-être le miroir de l'existence elle-même."
Ces propos, recueillis par Alessandra Mattanza dans son livre "My New York", viennent d'un grand amoureux de cette ville : Robert De Niro.
Pour conclure, il faut dire que la réussite d'un voyage dépende aussi de la personne avec qui on voyage et cette affirmation -c'est ma certitude- est valable que l'on soit seul ou accompagné :
personnellement j'ai vécu cette expérience à un moment positif de ma vie et en plus avec une personne vraiment spéciale... Qui me manque énormément quand elle n'est pas là.
Encore une fois, merci de l'attention.
~.~
Ah, un des rêves de ma vie enfin réalisé !
Oui, un rêve qui -comme tout rêve- s'interrompt ou finit au bout d'un moment...
J'ai pris le vol de retour (allez, visionnage pour l’énième fois de "Ghostbusters 2", présent dans le catalogue de chefs d’œuvre de l'avion...) et j'ai atterri dans la magnifique ville où j'habite, ma ville d'adoption, mon chez moi de vie, sentiments et culture(s), le matin du 13 novembre 2015.
En raison du décalage horaire ma copine et moi avons décidé de rester à la maison pour la journée et le soir la réalité nous avait déjà rattrapé.
J'ai pris le vol de retour (allez, visionnage pour l’énième fois de "Ghostbusters 2", présent dans le catalogue de chefs d’œuvre de l'avion...) et j'ai atterri dans la magnifique ville où j'habite, ma ville d'adoption, mon chez moi de vie, sentiments et culture(s), le matin du 13 novembre 2015.
En raison du décalage horaire ma copine et moi avons décidé de rester à la maison pour la journée et le soir la réalité nous avait déjà rattrapé.
En mémoire des victimes de Paris, 2015.
À la prochaine, mes très Chers, et une super année 2016 à Toutes et à Tous !
Post scriptum : le début de cette année est le bon moment pour vous annoncer les nouveautés de ce blog.
Oui, mes Ami(e)s, parce que les choses doivent évoluer (et en mieux, si possible...) !
La BD de fede change (un peu) de format !
Il est encore trop tôt pour vous en dire plus mais je vais vous donner juste un indice, une phrase mystérieuse : "je sais tout"...
À dans deux semaines, donc, pour le dévoilement du nouveau format !
Je vous attends nombreux !
Inscription à :
Articles
(
Atom
)