lundi 25 juillet 2016

David à Chantilly.


Bonjour à Toutes et à Tous !

Aujourd'hui je vais vous parler d'une grande personne que j'admire énormément (l'autre grande personne est mise à l'honneur ICI);
une personne qui a su transformer le jingle de la SNCF en chanson captivante ;
un musicien qui a su supporter Roger Waters pendant plus d'une décennie ;
un guitariste qui a écrit l'histoire de la musique à travers certains riffs inoubliables.

Oui, messieurs-dames, je vous parle de Mister David Gilmour, voix et guitare des Pink Floyd !

david 1

portrait au crayon réalisé par moi-même, d'après la photo de couverture de Rolling Stone France de novembre 2014.


Ce 70-year-old kind gentleman from Oxford - bien que rare en performance live - a eu la super bonne idée d'organiser une tournée mondiale commencée en septembre 2015 et qui se poursuivra jusqu'à 2017 !

Et le 16 juillet il passait par Chantilly !
Et moi, j’étais là !
Et ce n'est pas bien de commencer les phrases par "et".

J'étais là, donc.
Une des choses que je m'étais promis de faire avant de calancher.
Ça y est ! J'y suis arrivé... Pas à calancher, hein ?
À écouter David Gilmour live !

Ah, le régal !

Déjà, imaginez le décors magnifique du château, la nuit qui tombait pendant le concert, les étoiles et la lune (et pas mal de led colorés...) à nous illuminer bref, un petit rassemblement intime pour moi et 24000 autres personnes !

La scène était conçue comme celle des concerts des Pink Floyd (plaisir qui se rajoute au plaisir) avec une grande structure circulaire entourée de lumières qui bougent dans tous les sens

david 2



La setlist m'a réservé pas mal de surprises aussi : bien sûr les immanquables Wish you were here, Money, Time , le moment The Wall avec Run like Hell  et Comfortably numb mais aussi The great gig in the sky avec ses choristes incroyables, Shine on you crazy diamond, Coming back to life, le vieux classique Fat old sun, High hopes (tiens, juste après ce Brexit...) avec un final acoustique inédit mais j’arrête parce que je pourrais continuer pendant trois heures (durée du concert).

Une émotion : des moments touchants comme avant le concert lorsque David a demandé une minute de silence pour les victimes de Nice (et écouter le silence de 24000 personnes, je vous assure, ça donne la chaire de poule !) ou quand il a rendu hommage à son grand ami disparu Richard Wright ;
d'autres moments de pure musique avec ses solos de guitare à s’évanouir de plaisir et puis des moments psychédéliques (j'étais tellement dans un état de trance que je ne me souvenais même plus avoir chanté Breathe...) supportés par les lumières de la scène imitant un trip sous LSD :


ATTENTION : ça pète vraiment les yeux...


david 3



D'ailleurs, je plane encore...

Oui, les Ami(e)s, j'ai découvert pour mon plus grand bonheur, que se faire un bon concert de ces pépères de la musique, ça en vaut vraiment la peine !


À dans deux semaines,  les Ami(e)s !








p.s. Ça devient de plus en plus difficile de suivre l'actualité ; je découvre les 80 morts à Kaboul du 23 juillet dans un nouvel attentat perpétré par daesch ; depuis Nice, David a choisi de ne plus donner d'interview : il a peut-être raison, il faut se recueillir juste après ces drames pour éviter de dire des choses stupides - même si en bonne foi - ou prendre des décisions pas réfléchies.

Laissons parler la Musique, vrai langage universel qui pourrait pour une fois - on ne sait jamais - mettre tout le monde d'accord...


How I wish you were here...



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Up patriots to keyboards!